Renseignements (CHA)
Cette compétence sert à obtenir des contacts dans la région, à découvrir les rumeurs locales (ou au contraire à en diffuser de nouvelles), bref à obtenir des informations en tout genre.
En dépensant quelques pièces d'or pour payer à boire dans une taverne et se faire quelques amis, et en réussissant un test de Renseignements (DD 10), le personnage apprend quelles sont les nouvelles en ville, à condition que ses interlocuteurs n'aient pas de raison de lui cacher quoi que ce soit. Les haines raciales sont une de ces raisons (comme un elfe cherchant à obtenir des renseignements dans une bourgade orque) et l'incapacité à parler la langue locale en est une autre. Plus le résultat du test est élevé, plus les informations sont détaillées.
Si le personnage s'intéresse à un point précis (“Où se trouve le temple en ruine d'Érythnul ?”), un objet (“Que pouvez-vous m'apprendre sur la belle épée du capitaine de la garde ?”) ou cherche à obtenir une carte ou quelque chose de ce genre, le DD peut passer à 15, 20, 25 ou même au-delà.
Un test de Renseignements prend en général 1d4+1 heures.
Oui, mais une nouvelle soirée est nécessaire pour retenter sa chance. De plus, le personnage va finir par attirer l'attention sur lui à force de poser les mêmes questions.
Les demi-elfes étant particulièrement à l'aise dans toutes sortes de sociétés, ils bénéficient d'un bonus racial de +2 sur leurs tests de Renseignements.
Un personnage possédant le don Fin limier obtient un bonus de +2 sur les tests de Renseignements.
Un degré de maîtrise de 5 en Connaissances (folklore local) confère un bonus de +2 aux tests de Renseignements.
L’aventurier a besoin de l’aide du Temple des Quatre vents mais il ne sait pas à qui s’adresser. Doit-il demander au Grand Maître en personne ou à un de ses nombreux subordonnés ? Cette compétence peut l’aider à déterminer qui prend les décisions importantes.
Les aventuriers malins savent avec qui ils traitent avant de passer un accord. L’étranger qui vient de les engager est-il vraiment l’intendant du Duc et, si oui, bénéficie-t-il vraiment de la confiance de son maître ?